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Publié par Scientifique

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Coûts élevés, réseau de stations de recharge peu développé, autonomie limitée... les obstacles sont encore nombreux à une adoption massive de la voiture électrique. Les technologies hybrides, plus abordables et économes en carburants, semblent être une excellente alternative.

Un contexte favorable

La plupart des analystes sont formels : l’avenir appartient à la technologie hybride. De par l’irrésistible augmentation des prix à la pompe donc, mais aussi en raison du durcissement des normes environnementales, qui amène les grands constructeurs à ne pas se focaliser sur les modèles "standard", et de la revalorisation du bonus-malus écologique. Car si celle-ci pourrait n’être que temporaire, elle rend aujourd’hui les véhicules alternatifs plus attrayants.

Pionnier de l’hybride et de facto constructeur particulièrement actif en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur les routes, le Toyota "a déjà démontré la viabilité de (cette technologie) en vendant plus de 3,5 millions véhicules full-hybrid sur un marché qui croît à plus de 30% par an »,assurent Rémi Cornubert et Marc Boilard, experts au cabinet Oliver Wyman cités par nos confrères du Point et selon lesquels "le marché des véhicules hybrides va exploser d’ici 2020 pour occuper au moins 10 à 15% du marché".

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Des technologies innovantes

La technologie "Hybrid Air" est révolutionnaire et constitue une réelle avancée dans le cadre de la lutte pour la protection de l’environnement via la diminution des rejets de gaz à effet de serre sur les routes. Imaginé par le groupe PSA, le concept allie un moteur à essence à un moteur à air comprimé, mais sans la traditionnelle batterie lithium-ion électrique, qui n’est jamais une sinécure à recycler. Il permettrait en outre de réduire la consommation mixte des modèles qui en seront équipés (lesquels pourraient être commercialisés à compter de 2016 moyennant environ 20 000 euros) à moins de 3 litres au 100 kilomètres. Ce qui constitue aussi un atout économique indiscutable étant donné l’augmentation des prix du carburant.  

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Même les supercars s’y mettent !

Pléthore de grands constructeurs cherchent en effet à réduire l’empreinte environnementale de certains de leurs véhicules via la production de modèles électriques, donc zéro émission de gaz à effet de serre, et/ou hybrides. Un effort louable et collectif destiné à atténuer les effets du changement climatique et auquel Ferrari, sans pour autant déroger à cette puissance qui a fait sa notoriété, entend également participer.

En témoigne la mise sur le marché d’ici la fin de l’année de la nouvelle Enzo, "un modèle produit en série limitée et notre première voiture hybride jamais commercialisée", a indiqué le PDG du groupe Luca di Montezemolo, cité parTurbo.fr et qui, ce faisant, a confirmé les rumeurs persistantes de ces derniers mois. Ces déclarations font par ailleurs suite à la présentation le mois dernier lors du Salon automobile de Pékin (Chine) du nouveau moteur hybride de Ferrari Hy-Kers, lequel sera vraisemblablement adapté pour être installé sous le capot de ladite voiture.

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